Quand Paul et Pierre sont morts en martyrs à Rome, il en est devenu l’Evêque. Selon la tradition, il est mort en exil, martyrisé, en étant jeté à la mer…
Souvenez-Vous Des Pères De L’Eglise
Vers la fin de l’épitre, l'auteur de l'Epitre aux Hébreux interpelle ses lecteurs à “considérer” la vie des premiers proclamateurs de l’Evangile, les Apôtres. Il était convaincu de l’utilité spirituelle à regarder de plus près les vies des gens qui avaient tout sacrifier, afin de proclamer courageusement et sans compromis le message originel de Jésus. Je ne pense pas que l’auteur de l’épitre aurait préféré que l’on s’arrête sur les Apôtres uniquement. Le même conseil vaut également pour la vie des successeurs des Apôtres de la première génération, la deuxième et les autres.
Dans cette série, il s’agira de ceux qui sont connus comme les Pères de l’Eglise.
Aujourd’hui, dans notre série, nous démarrons avec le premier Père Apostolique de l’Eglise: Clément de Rome. Rappelons en passant qu’un Père Apostolique est un titre attribué aux leaders de l’Eglise qui avaient connu personnellement les apôtres. Clément de Rome ne doit pas être confondu avec Clément d’Alexandrie du 2e et 3e siècle sur qui on reviendra dans nos blogs ultérieurs.
Clément de Rome serait né vers 35 après J-C et mort autour de l’an 100. Né à peu près à l’époque de la mort de Jésus, Clément a grandi à une époque où le christianisme se répandait fortement sous la direction du Saint Esprit et le témoignage des apôtres dans tout le pourtour de la méditerranée. Il fut un des premiers convertis. Il existe un consensus général selon lequel il a connu les apôtres personnellement et l’apôtre Pierre en particulier. Irénée de Lyons, un autre Père de l’Eglise, l’atteste très tôt dans son livre Against Heresies : « cet homme [Clément de Rome], comme il avait vu les apôtres bénis, et avait été en contact avec eux, on pourrait dire que la prédication des apôtres résonnait encore dans ses oreilles, et leurs traditions devant ses yeux. »
Origène d’Alexandrie, un Père de l’Eglise également est de commun accord avec Eusèbe, celui qui est reconnu comme le père de l’Histoire de l’Eglise, pour affirmer que Clément de Rome est le même Clément que Paul mentionne dans sa lettre aux Philippiens : » Oui, et je te demande, mon vrai compagnon, aide ces femmes puisqu’elles ont combattu à mes côtés dans la cause de l’évangile, avec Clément et le reste de mes collaborateurs, dont les noms sont dans le livre de vie » (Philippiens 4 :3).
Au fur et à mesure que l’Eglise grandissait à Rome, Clément est devenu l’un de ses dirigeants les plus notables. Quand Paul et Pierre sont morts en martyrs à Rome, il en est devenu l’Evêque. Selon la tradition, il est mort en exil, martyrisé, en étant jeté à la mer attaché à une ancre. Cependant, aujourd’hui les historiens contestent en général cette tradition car ils croient que son identité a été confondue avec Titus Flavius Clemens (cousin de l’empereur Domitien). Ce dernier est historiquement attesté qu’il fut un martyr alors que Clément de Rome n’est mentionné comme martyr qu’au 5è siècle.
Tout comme Ignace d’Antioche ou Polycarpe de Smyrne ont écrit des lettres pour encourager les églises, Clément a laissé une lettre adressée à l’Eglise de Corinthe. Cette épitre connue sous le nom de 1 Clément, serait le document le plus ancien qui nous soit parvenu jamais écrit par un leader d’Eglise en dehors des livres qui forment le canon du Nouveau Testament. On pense que l’épitre a été écrite vers 96 après J. C, lorsque Jean était le seul apôtre vivant. [1]
Ce qui est drôle, c’est que la situation qui demandait que la lettre soit écrite était assez similaire aux situations qui demandaient à Paul d’écrire 1ère et 2e Corinthiens : conflits et divisions dans l’Eglise. Apparemment les mêmes problèmes qui avaient déchiré cette Église aux temps de Paul avaient persisté, découlant du comportement charnel : envie, jalousie. Cela a occasionné des rebellions qui défiaient les Anciens jusqu’à vouloir les destituer.
Clément décida alors d’envoyer une lettre magistrale aux Corinthiens, les réconciliant dans la paix, plaidant pour l’unité et l’amour, renouvelant leur foi et proclamant la doctrine qu’il avait récemment reçue des apôtres.
Très mauvais timing pour les chamailleries
Clément de Rome a joué un rôle essentiel dans la réunification de l’église avec ses dirigeants légitimes, la remettant sur les rails à un moment où la persécution aurait pu facilement écraser l’Eglise. Grâce à l’unité de l’Église, le christianisme a continué à prospérer malgré l’oppression de l’empire le plus puissant du monde.
Avec amour et compassion, Clément a exhorté ses lecteurs à : être humbles d’esprit, mettre de côté toute arrogance, orgueil, folie et sentiments de colère … être particulièrement attentif aux paroles du Seigneur Jésus qu’il a prononcées, nous enseignant la douceur et la patience. La lettre de Clément aux Corinthiens a continué à être lue dans l’église de Corinthe dans le cadre de la liturgie pendant de nombreuses années. La lettre était également populaire parmi les autres églises du monde romain antique. Écrit par un homme qui avait connu Pierre et Paul, un cœur de pasteur pour tous les chrétiens, c’était une grande source de force et de conseils pour les églises primitives. Ces Eglises souffraient déjà de persécutions intenses et les divisions internes ne pouvaient que les fragiliser davantage.
Clément et l’Autorité des Ecritures
Bien qu’il fût successeur immédiat de Pierre, il n’a jamais revendiqué une autorité absolue à ses paroles. Il savait que la crédibilité de ses dires se trouvait dans sa dépendance absolue aux saintes Ecritures des apôtres et prophètes. La lettre de Clément est imprégnée de références bibliques (au moins 150 citations de l’Ancien et du Nouveau Testament), et il a habilement tissé les citations scripturaires ensemble pour encourager les Corinthiens à retourner à leur saint appel, à « s’occuper de ce qui est bon, agréable aux yeux de Celui qui nous a appelés ».
Clément tisse des références à l’Ancien Testament tout au long de sa lettre, en utilisant la traduction grecque de l’hébreu original connu sous le nom de La Septante. Clément utilise également des résumés et des points clés des histoires de l’Ancien Testament pour étayer son argument sur les dangers de la division dans l’église. Par exemple, il raconte l’histoire d’Israël avec une telle créativité qui lui permet d’en tirer les exemples d’humilité et envie dont il se sert pour confronter les problèmes dans l’Eglise de Corinthe. Clément fait également référence aux épitres de Paul aux Romains, Galates, Éphésiens, 1 Corinthiens, aux Evangiles comme Matthieu et Luc.
Certaines de ses paroles sont étroitement parallèles à celles de Paul et des autres apôtres, révélant un leader qui était profondément en phase avec la tradition et les enseignements inspirés des apôtres.
Clément et l’Evangile
En plus de cette question spécifique des évêques limogés et le manque d’unité, la lettre est également précieuse pour sa doctrine et l’enseignement de l’Évangile. Voici quelques citations :
« Nous donc, qui avons été appelés par sa volonté en Jésus-Christ, nous ne sommes pas justifiés par nous-mêmes, ni par notre sagesse, notre intelligence ou notre piété, ni par les œuvres que nous avons accomplies dans la sainteté de cœur, mais par la foi par laquelle le tout-puissant Dieu a justifié tous les hommes depuis le commencement. A qui soit la gloire pour toujours et à jamais. Amen ! Que ferons-nous donc, frères ? Cesserons-nous les bonnes œuvres et mettrons-nous fin à l’amour ? Puisse le Maître interdire que cela se produise jamais parmi nous ; au contraire, soyons impatients d’accomplir toute bonne œuvre sérieusement et volontairement. »
Avec un cœur pastoral, il espère la repentance de ceux qui ont mal agi.
« Fixons notre regard sur le sang du Christ et sachons combien il est précieux pour son Père, car il a été versé pour notre salut et a apporté la grâce de la repentance au monde entier. Regardons en arrière sur toutes les générations, et apprenons que de génération en génération, le Maître a donné une occasion de repentance à tous ceux qui ont la volonté de se tourner vers Lui. »
Quelques mots de prudence sur son épitre
L’épitre de 1 Clément a été utilisée pour justifier toutes sortes d’aberrations dans l’histoire de l’Eglise. Tout cela pour révéler qu’on a mal comprit Clément.
L’autorité du pasteur n’est pas absolue
Il est clair que Clément écrit pour affermir l’autorité des évêques ou anciens, mise en péril par une congrégation des jeunes chrétiens en révolte. 1 Clément reste un bon échantillon pour étudier comment l’organisation de l’Eglise a évolué avec le temps mais il reste un témoignage ambigu dans certains domaines. Par exemple, on ne nous dit jamais précisément pourquoi les Corinthiens avaient limogé leurs dirigeants. Par conséquent, la lettre peut être maladroitement utilisée pour prétendre que les pasteurs ne doivent jamais être licenciés. Ceci est faux car la congrégation peut avoir des motifs raisonnables de destituer leurs dirigeants.
L’épitre ne justifie pas la primauté de Rome sur le reste des Eglises.
Certains ont fait valoir que cette lettre prouve que l’église romaine détenait déjà l’autorité sur les autres églises chrétiennes, parce que Clément a écrit à partir d’une position d’autorité et a dit à une autre église quoi faire. À un moment de la lettre, Clément dit : « Car vous nous donnerez une grande joie et une grande allégresse, si vous obéissez aux choses que nous avons écrites par le Saint-Esprit.” Mais au lieu de voir cela comme une demande explicite d’obéissance, cela devrait être considéré comme un exemple de correction fraternelle plutôt qu’une intervention autoritaire.
Il est possible que la congrégation de Corinthe, déchirée par la division, ait accepté de régler ses différends en invitant une autre congrégation, ou le chef d’une autre congrégation, à agir comme arbitre. Ce serait une chose raisonnable à faire, et le choix de Rome comme congrégation était naturel, en partie à cause du prestige de la ville et du prestige de l’une des plus grandes congrégations de l’Église.
1 Clément est le seul écrit légitime de Clément de Rome
Il existe une autre sorte de sermon connu comme 2 Clément qui lui est attribué. Eusèbe en réfute l’authenticité dans Ecclesiastical History et beaucoup d’autres après lui. D’autres romans Chrétiens portant son nom ne sont que des pseudépigraphes et ne doivent pas être acceptés comme venant de lui.
Application contextuelle
Il est vrai que l’autorité ultime vient de Dieu à travers Christ dans la puissance du Saint Esprit. Plus concrètement, cette autorité est objectivement manifestée par la soumission au témoignage scripturaire. Or, la Bible reconnait que Christ exprime son autorité à travers des serviteurs imparfaits qui sont des bergers, pasteurs ou toute autre appellation que l’on préfère.
Nous faisons face à une crise globale d’autorité. Aujourd’hui, nous observons que les attentes d’autonomie, d’indépendance, de liberté personnelle sont façonnées par notre culture teintée de péché comme les Corinthiens d’autrefois. On observe un laxisme moral dans le domaine de l’obéissance et d’allégeance à l’autorité, l’autorité absolue des Ecritures et le caractère absolu de la vérité sont relativisés. Nous observons une insubordination ouverte envers le leadership pastoral, une attitude dégradante d’insoumission aux normes et structures. Il est temps de relire l’épitre de Clément.
Clément insiste sur l’Evangile pour résoudre les conflits à Corinthe. Il suit les traces de Paul et aujourd’hui encore quand l’unité de l’Eglise est menacée, regroupons-nous autour des essentiels de l’Evangile afin de nous armer de la même attitude de Jésus.
Prière finale de Clément
J’aimerais clore cet article de la même façon que Clément le fait pour son épitre : Par la prière. La prière de Clément a traversé facilement les siècles pour devenir une prière de tous les chrétiens d’aujourd’hui :
Que Dieu, qui voit tout, et qui est le Souverain de tous les esprits et le Seigneur de toute chair – qui a choisi notre Seigneur Jésus-Christ et par lui un peuple particulier – accorde à chaque âme qui invoque Son nom glorieux et saint, la foi, la crainte, la paix, la patience, la longanimité, la maîtrise de soi, la pureté et la sobriété, pour le bien de Son Nom, par notre Souverain Sacrificateur et Protecteur, Jésus-Christ, par et à Lui, soient la gloire, majesté, puissance et honneur, maintenant et à jamais. Amen !
Post-Scriptum
Cet article est déjà long ! Vous pouvez vous arrêter ici si vous voulez. J’espère avoir fourni une information suffisante vous introduisant Clément de Rome. Néanmoins, j’ai envie d’offrir quelques extraits de l’épitre de Clément aux Corinthiens au cas où cela pourrait susciter un désir de vouloir la lire entièrement malgré son vieux style.
Sur la repentance
« Si nous passons en revue les différentes époques de l’histoire, nous verrons qu’à chaque génération, le Seigneur a « offert l’occasion de se repentir » à tous ceux qui étaient disposés à se tourner vers lui. Lorsque Noé a prêché le message de repentance de Dieu, tous ceux qui l’ont écouté ont été sauvés. Jonas a dit aux Ninivites qu’ils allaient être détruits, mais quand ils se sont repentis, leurs prières ont obtenu le pardon de Dieu pour leurs péchés, et ils ont été sauvés, même s’ils n’étaient pas du peuple de Dieu.
Sous l’inspiration du Saint-Esprit, les ministres de la grâce de Dieu ont parlé de repentance ; en effet, le Maître de l’univers entier parlait lui-même de la repentance avec un serment : « Je suis vivant, dit l’Eternel, je ne souhaite pas la mort du pécheur, mais la repentance du pécheur. Il ajouta cette preuve de sa bonté : « Maison d’Israël, repentez-vous de votre méchanceté. Dites à mon peuple : Si leurs péchés s’étendent de la terre au ciel, s’ils sont plus brillants que le cramoisi et plus noirs que le sac, vous n’avez qu’à vous tourner vers moi avec tout votre cœur et dire : « Père », et je vous écouterai comme si vous étiez un peuple saint. »
En d’autres termes, Dieu voulait que tous Ses enfants bien-aimés aient la possibilité de se repentir et il a confirmé ce désir par Sa propre volonté toute puissante. C’est pourquoi nous devons obéir à Sa volonté souveraine et glorieuse et implorer dans la prière Sa miséricorde et Sa bonté. Nous devons être suppliants devant Lui et nous tourner vers Sa compassion, rejetant les œuvres vaines, les querelles et la jalousie qui ne mènent qu’à la mort.
Nous devrions être humbles d’esprit, mettre de côté toute arrogance, fierté et colère stupide. Au contraire, nous devons agir conformément aux Écritures, comme le dit le Saint-Esprit : « Le sage ne doit pas se glorifier de sa sagesse, ni le puissant de sa force, ni le riche de sa richesse. Que celui qui se glorifie se glorifie plutôt dans le Seigneur, en cherchant Sa face et faire ce qui est bien et juste. » Rappelez-vous en particulier ce que le Seigneur Jésus a dit lorsqu’il a enseigné la douceur et la patience. « Soyez miséricordieux, » dit-il, « afin qu’il vous soit fait miséricorde. Pardonnez, afin qu’on vous pardonne. Comme vous traitez les autres, vous serez traité. Comme vous donnez, vous recevrez. Comme vous jugez, ainsi vous serez jugé. Comme vous êtes bon envers les autres, ainsi vous serez traité avec bonté. La mesure de votre don sera la mesure de ce que vous recevrez.
Que ces commandements et préceptes nous fortifient pour vivre dans l’humble obéissance à Ses paroles sacrées. Comme le demande l’Ecriture: « Qui regarderai-je avec faveur sinon l’humble et paisible qui tremble à mes paroles? »
Sur l’amour
Que celui qui est vraiment possédé par l’amour du Christ garde Ses commandements. Qui peut exprimer le pouvoir contraignant de l’amour divin ? Qui peut trouver des mots pour la splendeur de sa beauté ? Au-delà de toute description sont les sommets auxquels il nous élève. L’amour nous unit à Dieu ; « il efface d’innombrables péchés », n’a pas de limites à son endurance, supporte tout patiemment. L’amour n’est ni servile ni arrogant. Il ne provoque pas de schismes ni ne forme de cliques, mais agit toujours en harmonie avec les autres. Par elle, tous les élus de Dieu ont été sanctifiés ; sans l’amour, il est impossible de Lui plaire. Par amour, le Seigneur nous a pris à Lui; parce qu’il nous a aimés et que c’était la volonté de Dieu, notre Seigneur Jésus-Christ a donné le sang de sa vie pour nous, il a donné son corps pour notre corps, son âme pour notre âme.
Voyez donc, bien-aimés, quelle grande et merveilleuse chose est l’amour, et combien Sa perfection est inexprimable. Qui est digne de le posséder à moins que Dieu ne le fasse ainsi ? C’est donc vers Lui que nous devons nous tourner, implorant Sa miséricorde afin que se trouve en nous un amour exempt de partialité humaine et irréprochable. Chaque génération depuis l’époque d’Adam jusqu’à la nôtre est passée ; mais ceux qui, par la grâce de Dieu, ont été rendus parfaits dans l’amour ont maintenant une demeure parmi les saints, et quand enfin le royaume de Christ apparaîtra, ils seront révélés. Heureux sommes-nous, bien-aimés, si l’amour nous permet de vivre en harmonie et dans l’observance des commandements de Dieu, car alors il nous procurera aussi la rémission de nos péchés. L’Ecriture déclare « heureux ceux dont les transgressions sont pardonnées, dont les péchés sont pardonnés. Heureux celui », dit-elle, « à qui le Seigneur n’impute aucune faute, sur les lèvres duquel il n’y a pas de fraude ». C’est la bénédiction accordée à ceux que Dieu a choisis par Jésus-Christ notre Seigneur. A lui soit la gloire pour toujours et à jamais.
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[1] La lettre est disponible dans ces archives bien que son style soit un peu vieux : 1 CLEMENT
NIKIZA Jean-Apôtre est un Pasteur qui exerce son ministère depuis la ville de Bujumbura. Il est marié à Arielle T. NIKIZA et ensemble, ils sont pionniers du Mouvement des Hédonistes Chrétiens, Sa Bannière depuis 2015. Ils sont aussi co-fondateurs de Little Flock Ministries. La spiritualité chrétienne et le Renouveau spirituel de l’Eglise restent les grandes marques de leur appel commun. Les moments de loisirs de NIKIZA J-A incluent les films, la musique,le Basketball et un bon sommeil.
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